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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 15:48

 


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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 20:54
Tout comprendre sur l'argent, la monnaie et le système bancaire.

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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 18:45


RMC: Marc Fiorentino & le krach qui s'en vient 2/2

EcoTV by BNP Paribas - n°29 - Janvier 2010

 Interview :

Sibylle Dehesdin:

Bonjour à toutes et à tous. Nous sommes ravis de vous retrouver dans cette nouvelle édition d'ECO TV. Tout d'abord, laissez-moi vous souhaiter une très bonne année 2010, au nom de toute l'équipe d'Eco TV.

Aujourd'hui nous vous proposons un numéro exceptionnel : pour fêter la nouvelle année 2010, les économistes de BNP Paribas vous ont donné rendez-vous à l'Orangerie, le siège de la direction générale de BNP Paribas, situé 3 rue d'Antin à Paris dans le 9è arrondissement.

Michel Pébereau, le président de BNP Paribas, évoquera la réglementation des banques...

Nous retrouverons également le directeur des études économiques, Philippe D'Arvisenet pour faire le point sur les pays de l'OCDE...

Et enfin nous reviendrons avec Caroline Newhouse Cohen sur la situation de l'économie britannique...

 

 

* * *

 

Sibylle Dehesdin : Nous sommes à présent dans l'un des salons de réception de l'Orangerie, en compagnie de Michel Pébereau, président de BNP Paribas.

Monsieur le président, bonjour.

 

Michel Pébereau : Bonjour.

 

Sibylle Dehesdin : Quelles conséquences va t'on tirer de la crise en matière de régulation financière ?



Michel Pébereau : C'est un domaine très important puisqu'il faut naturellement que le monde financier tire toutes les conséquences de cette crise pour qu'elle ne se reproduise pas. Et dans ce domaine, un certain nombre d'orientations ont été arrêté par le groupe des 20. Ces orientations concernent à la fois les problèmes de rémunération, les problèmes de régulation et les problèmes de comptabilité. Mais ce qui est un problème essentiel aujourd'hui, c'est de savoir si ces décisions du groupe des 20 vont bien être mises en œuvre partout dans le monde et en particulier aux Etats Unis d'Amérique. Notre inquiétude aujourd'hui, est que ces régulations ne soient pas mises en œuvre en même temps, partout dans le monde. Nous avons dans le domaine financier, comme il y a dans le domaine de l'environnement, une question d'autorité mondiale.

Sibylle Dehesdin : Mais concrètement, quels sont les sujets essentiels en termes de régulation justement ?

 

Michel Pébereau : La crise a montré que le sujet le plus important, contrairement à ce que l'on pense, c'est le problème de la liquidité des banques. Il faut mettre en place une régulation de la liquidité, au niveau international, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. Il faut en deuxième lieu, tirer les conséquences des problèmes de solvabilité qui se sont posés. Cela veut dire concrètement, faire appliquer partout dans le monde, les accords dits de Bâle II, après les avoir corrigé au niveau du comité de Bâle, pour tirer toutes les conséquences de la crise.

 

Sibylle Dehesdin : Selon vous, est ce que ces mesures seront favorables sur le plan économique ?

 

Michel Pébereau : Je suis très inquiet à vous dire le vrai, parce que je crains que la façon dont le comité de Bâle va tirer les conséquences de cette crise, ne soit pas totalement adaptée. En réalité, et le cas de la France l'a bien montré, un certain nombre de banques n'ont pas eu du tout de problèmes de fonds propres à l'occasion de cette crise. Or, si l'on augmente d'une façon indistincte les exigences de fonds propres pour les prochaines années, alors, on va affecter les perspectives de croissance économique, ce que l'on appelle la croissance économique potentielle. Or vous savez, l'intermédiation bancaire réalise les deux tiers du financement de l'économie européenne et seulement un tiers du financement de l'économie américaine, qui est surtout financée par les marchés. Donc, si l'on aggrave d'une façon indue, les besoins de fonds propres des banques au niveau international, cela va affecter la croissance en Europe, beaucoup plus qu'aux Etats-Unis. C'est ce qu'il faut éviter.

 

Sibylle Dehesdin : Merci M. Le président.

 

* * *

 

 

Sibylle Dehesdin : Nous avons rejoint Philippe d'Arvisenet, le directeur des études économiques pour parler des pays de l'OCDE.

Philippe bonjour,

 

 

Philippe d'Arvisenet : Bonjour.

 

Sibylle Dehesdin : La plupart des pays de l'OCDE ont finalement connu "une croissance négative", permettez moi l'expression, en 2009.

Alors pourquoi, quand est t'il ?

Philippe d'Arvisenet : Effectivement, la plupart des pays de l'OCDE ont connu une croissance économique négative en 2009. Cette croissance négative provient essentiellement de ce qui s'est passé fin 2008-début 2009, où les économies ont véritablement plongé. Donc on est parti de très bas, il y avait un effet de base négatif comme disent les spécialistes. La croissance est revenue en territoire positif vers le milieu de l'année. Au troisième trimestre, la plupart des pays avaient retrouvé une croissance positive, à l'exception par exemple de l'Espagne ou de la Grande-Bretagne. Cette croissance positive, elle est venue essentiellement d'éléments techniques. Après avoir beaucoup déstocké, on déstocke moins vite et l'on s'apprête à ne plus déstocker du tout. Donc on a un effet négatif sur la croissance qui disparaît. D'autre part, vous avez le soutien à la conjoncture par la politique budgétaire qui consiste soit à baisser les impôts, soit à inciter à la dépense. Alors plusieurs exemples, d'abord l'incitation à changer de voiture. Cela a beaucoup joué en France, cela a joué aux Etats-Unis, en Allemagne et dans d'autres pays. Vous avez l'aide aux primo accédant à la propriété, par exemple aux Etats-Unis. Si vous excluez ces éléments de soutien conjoncturel et les éléments, j'allais dire techniques, vous n'auriez pas eu ça. Donc une grosse contribution de la politique économique. Disons que nous sommes sortis de cette récession dans la deuxième moitié de l'an dernier. On va commencer 2010 à un niveau moins défavorable que nous avons commencé 2009, donc c'est quelque chose de positif.

 

Sibylle Dehesdin : Oui mais justement ces politiques risquent de s'arrêter ou de s'essouffler pour certaines. Quelles sont vos précisions pour 2010 ?

Philippe d'Arvisenet : En ce qui concerne 2010, il faut voir qu'un certain nombre de facteurs qui ayant contribué à la sortie de récession, vont s'essouffler. C'est naturellement vrai du déstockage, une fois qu'il est fait, il est fait. C'est naturellement vrai de la politique budgétaire. Le plus gros de l'effort est derrière nous. Les taux d'intérêts sont tombés à un niveau extrêmement bas et ils ne peuvent pas être abaissés plus, donc nous ne sommes plus dans une période de crise aigue si je puis dire. Donc nous avons une perspective de croissance, contrairement à l'an dernier, modeste, dans les eaux de deux et quelques pourcent aux Etats-Unis, ce qui est très en dessous des espérances, légèrement égal ou légèrement supérieur à un pourcent en Europe, ce qui là encore est très décevant, même si ça n'a plus rien avoir avec du négatif. Quand on ne peut pas s'appuyer sur des facteurs temporaires ou sur la politique économique, on est obligé de s'appuyer sur des choses habituelles. Alors c'est quoi ? Les créations d'emplois. L'emploi c'est une variable décalée du cycle, il faut attendre qu'il y ait de la croissance pour que l'on se remette à créer des emplois. Deuxièmement, le chômage est élevé, il pèse sur la formation des salaires, donc on ne peut pas s'attendre là non plus à une accélération des salaires, à un moment précisément, où les prix cessent de baisser parce que les effets de la baisse des prix du pétrole, il y a un peu plus d'un an maintenant, sont sortis du paysage. Donc on ne peut pas attendre des facteurs normaux qu'ils apportent une contribution tout de suite. Reste naturellement l'endettement. Les ménages dans beaucoup de pays (Etats-Unis, Irlande, Angleterre, Espagne) sont très endettés. La priorité pour eux, c'est d'assainir leur situation financière. Le chômage ne les incite pas à s'endetter d'autre part. Et troisièmement, la baisse des prix de l'immobilier, ne permet pas d'utiliser l'immobilier (dans les pays où le mécanisme existe) comme garantie pour obtenir des prêts bancaires qui vont servir à acheter tout et n'importe quoi. Donc nous attendons une croissance certes, mais modeste et qui risque de décevoir.

 

Sibylle Dehesdin : Et qui sera sans doute sans emplois également...

Philippe d'Arvisenet : Pas tout de suite en tout cas.

 

Sibylle Dehesdin : Merci Philippe. Je rappelle que vos éditos sont sur le site des études économiques de BNP Paribas.

 

* * *

 

Sibylle Dehesdin : Nous sommes à présent en compagnie de Caroline Newhouse Cohen pour évoquer la situation britannique.

Caroline bonjour,

 

Caroline Newhouse - Cohen : Bonjour Sybille.

 

Sibylle Dehesdin : Le pays a connu depuis la crise de 2008 sa pire récession avec six trimestres consécutifs de baisse de son PIB.

Alors comment expliqué que le Royaume-Uni soit autant touché?



Caroline Newhouse - Cohen : C'est vrai que le Royaume-Uni a été particulièrement touché. Au troisième trimestre, le PIB reculait encore de 0,3%. Pour donner une idée, à ce troisième trimestre le PIB était 6% inférieur au niveau qu'il avait atteint avant la crise, au premier trimestre 2008. Alors quels sont les facteurs qui expliquent que cette crise a été la pire effectivement depuis 1955 ?

Tout d'abord la spécificité de la crise. C'est une crise qui a touché à la fois le marché financier et le marché immobilier. Et puis aussi la spécificité des changements majeurs qui ont eu lieu dans l'économie britannique depuis une dizaine d'années, même depuis plusieurs dizaines d'années. Alors ces changements ont donné une place particulière, au secteur des services. Le secteur des services qui a bénéficié de la libéralisation des marchés et de la montée en puissance des activités financières. Le secteur des services a donc pris une place importante. Au début des années 90 il représentait 70% de la valeur ajoutée au Royaume-Uni. Avant la crise, il représentait 80% de la valeur ajoutée totale de l'économie britannique. Et dans ce secteur des services, le secteur financier a pris la part du lion. Il a progressé depuis 1997, sur les 10 années qui ont suivi, en moyenne à un rythme deux fois plus rapide qui celui de l'économie britannique dans son ensemble. Alors, l'économie devrait se sortir progressivement de la récession, avec un PIB qui devrait progresser à nouveau au quatrième trimestre, mais la croissance restera inférieure à son potentiel. En 2010, on prévoit une croissance autour de 2%.

 

Sibylle Dehesdin : Il y a également une bonne surprise. L'emploi a plutôt bien résisté, avec

un déclin de "seulement" 2,5% depuis le début de la récession...

Comment expliquer cela ?

.

Caroline Newhouse - Cohen : Oui c'est vrai que c'est une situation assez particulière. L'emploi avait diminué de façon plus importante au cours des récessions précédentes. Alors il faut compter, sur la libéralisation du marché du travail britannique, qui est un marché qui est devenu très flexible et les employés, ont souvent accepté des baisses de salaires de peur de perdre leur emploi. Déjà on voit des signes de reprise et d'améliorations des conditions sur le marché du travail. Alors on les voit surtout dans les enquêtes. Je pense particulièrement à l'enquête CIPS MARKIT qui a été publiée pour le secteur manufacturier, et l'indicateur relatif aux conditions du marché du travail s'améliore depuis janvier 2009, même si en décembre, on était toujours inférieur à 50, c'est-à-dire en zone de contraction. Alors, les conditions s'améliorent, et comme le délais de réaction entre le marché du travail et la reprise économique s'est nettement réduit grâce à la libéralisation du marché du travail, on l'estime aujourd'hui à environ 6 mois, nous anticipons que le taux de chômage devrait cesser de croître cette année et se stabiliser autour de 8%.

 

Sibylle Dehesdin : Alors par ailleurs, quelles ont été les raisons de la dépréciation de la livre sterling par rapport à l'euro?

Caroline Newhouse - Cohen : Alors il s'agit avant tout, d'un décalage conjoncturel entre le Royaume-Uni et la zone euro, puisqu'au troisième trimestre, dans la zone euro, la reprise était déjà là avec une progression du PIB de 0,4%. Alors, compte tenu de la situation économique vraiment difficile en Grande Bretagne, la banque d'Angleterre devrait garder sa politique monétaire inchangée tout au long de 2010. De plus, on voit les agrégats monétaires qui continuent d'évoluer de manière préoccupante, et compte tenu du fait qu'il n'y a pas de rebond du crédit, que la consommation des ménages repart difficilement, et bien la croissance économique ne va pas prendre beaucoup d'ampleur au cours de l'année 2010. Enfin, il y a un nécessaire besoin d'assainissement des finances publiques, et cette tâche ne sera appliquée qu'après les élections en juin, et ça devrait peser encore sur la croissance. Tous ces facteurs contribuent à la faiblesse du Sterling qui devrait continuer à se déprécier contre l'Euro en 2010.

Sibylle Dehesdin : Merci Caroline,

Et merci à vous pour votre attention.

Nous arrivons à la fin de cette émission mais on se retrouve dès le mois prochain, pour un nouveau numéro d'ECO TV, le rendez-vous mensuel des économistes de BNP Paribas.

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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 13:09
le 20/11/2009



NYON (Suisse) (AFP) - 25/11/09 17:34
Paris truqués: au moins 7 matches concernés en C1 et Europa League

L'affaire des paris truqués concerne au moins sept matches du tour préliminaire de la Ligue des Champions 2009 et de l'Europa League, a révélé mercredi l'UEFA à l'issue d'une réunion avec les neuf fédérations impliquées.

Par ailleurs cinq clubs sont considérés comme suspects -- KF Tirana et KS Vilaznia, en Albanie, FC Dinaburg (Lettonie), NK Ljubljana (Slovénie) et Honved Budapest (Hongrie).

Le parquet de Bochum (ouest de l'Allemagne) avait indiqué vendredi que trois matches de Ligue des champions étaient considérés comme suspects, ainsi que 12 rencontres d'Europa League.

Selon l'UEFA, au moins sept matches auraient été truqués:

2e tour qualification Ligue des champions - Stabaek IF - KF Tirana,

2e tour qualification Europa-League - Bnei Yehuda Tel Aviv - FC Dinaburg

2e tour qualification Europa-League - FC Dinaburg-Bnei Yehuda Tel Aviv

2e tour qualification Europa-League - KS Vilaznia - Rapid Vienne

2e tour qualification Europa-League - Rapid Wien - KSV Vilaznia

3e tour qualification Europa-League - NK Ljubljana - FC Metalurg Donetsk

3e tour qualification Europa-League - Fenerbahce Istanbul - Honved Budapest.

"L'UEFA va ouvrir sa propre enquête sur une possible implication de trois arbitres et d'un autre individu en lien avec l'UEFA", a indiqué le secrétaire général de l'Union européenne de football, Gianni Infantino, à l'issue d'une réunion avec les neuf fédérations concernées (Autriche, Belgique, Bosnie, Croatie, Allemagne, Hongrie, Slovénie, Suisse, Turquie).

"Contrairement à ce qui a été rapporté par certains médias, il n'y a aucune suspicion ou enquête sur un membre de l'administration de l'UEFA", a-t-il ajouté.

"L'UEFA va déposer aussi vite que possible des plaintes, en association avec les fédérations concernées, contre les clubs, les officiels ou les joueurs impliqués", a poursuivi M. Infantino qui a tenu à préciser que l'UEFA "en tant qu'institution sportive, possède des outils limités" pour traiter ce genre d'affaire.

"Il s'agit ici de crime organisé, d'enquête criminelle. Nous sommes donc dépendants du travail des autorités publiques comme le parquet de Bochum", a-t-il expliqué.

L'UEFA a également indiqué qu'elle allait demander "officiellement" au parquet de Bochum à avoir accès au dossier. "Cette procédure peut prendre plusieurs semaines", a indiqué l'institution européenne.

Le réseau de paris truqués sur des matches de football démantelé la semaine dernière en Europe porterait sur environ 200 rencontres dans neuf pays, selon l'UEFA.

Les gains réalisés par les parieurs se chiffreraient à une dizaine de millions d'euros, selon les enquêteurs.

Championnats nationaux, divisions inférieures, catégories de jeunes, matches amicaux et compétitions internationales, aucun niveau ne semble épargné par ce scandale.


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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 13:59

     Aide et conseils pour signaler des contenus illicites.
     
     - Actualité de la sécurité informatique : secuser.com
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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 22:54
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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 14:40

 

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Supprimer  les Adwares et les Spywares de votre PC avec :
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- Adwares : sont des logiciels espions qui s'installent à votre insu sur votre ordinateur. Ils ont pour objectif d'enregistrer vos habitudes et vos centres d'intérêt sur Internet.
- Dialers : Programme permettant de composer un numéro de téléphone qui s'installent à son insu pour se substituer au numéroteur de Windows et se connecter à Internet via un numéro surtaxé.
- Hijack : Usurpation et Modification non sollicitée du comportement et/ou des réglages du navigateur de l'internaute.
- Malwares : sont des logiciels développés dans le but de nuire à un système informatique. Les virus et les   vers sont les deux exemples de logiciels malveillants.
- Phishing : C'est une technique utilisée pour voler des données personnelles (bancaire en majorité).

- Rogues : sont de faux antispywares.
- Spams : sont des courriers électroniques, non sollicités par les destinataires, utilisés souvent à des fins malhonnêtes ou publicitaires.
- Spywares : sont des logiciels espions qui s'installent, à votre insu sur votre ordinateur, ils recueillent des informations plus ou moins personnelles, des saisies au clavier, sites internets visités et envoient l'ensemble à des pirates informatiques ou des sociétés qui n'en feront pas toujours bon usage.
- Trojans ou Cheval de Troie :  (en anglais trojan horse) sont des programmes informatique effectuant des opérations malicieuses à l'insu de l'utilisateur.

  

       - Protéger votre ordinateur et votre téléphone mobile :    

      
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21 octobre 2008 2 21 /10 /octobre /2008 14:57

Site d'aide, des droits et démarches pour se loger.

aide au logement

 caf.fr

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 anil.org

 

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27 août 2008 3 27 /08 /août /2008 15:54
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26 août 2008 2 26 /08 /août /2008 11:57


     Illicotravel : Le comparateur de billets d'avion
    


     

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